Le marché des boîtes de nuit en France
Comment gérer un Nightclub dans GTA Online ? notre guide - Millenium
Cinquième vague : quand les discothèques auboises trinquent
Interview. "Les fêtes sauvages vont battre leur plein" craint ce patron de discothèque gay du Morbihan | Actu Morbihan
Videurs de boite de nuit, un métier à risque - YouTube
Boite de nuit : Comment devenir videur ? Formation et salaire | Education.fr
Les gérants de boîte de nuit dans l'incompréhension après la prolongation de trois semaines des fermetures - France Bleu
Nancy. Sa boîte de nuit ne rouvrira pas en juillet, un gérant en colère contre le pass sanitaire | Lorraine Actu
Descente dans les boîtes de nuit du centre-ville
Pour 2021, je n'ai aucun espoir": la détresse "totale" des gérants de boîtes de nuit – L'Express
Le coup de gueule d'un patron de discothèque du Puy-de-Dôme : " Personne ne peut se mettre à notre place"
Covid-19 : la fête est finie dans les boîtes de nuit de la région
Fermeture des discothèques : la grogne et le désespoir montent chez les patrons de boîtes de nuit des Hauts-de-France - La Voix du Nord
TPMP : exaspérés par la crise, des gérants de boite de nuit ont les nerfs qui lâchent
L'appel de détresse du gérant d'une discothèque du Nord-Mayenne
On veut juste vivre, travailler, ça vous parle ?" : la vidéo d'un gérant de boîte de nuit clermontois devient virale - Paris (75000)
Comment devenir videur de boite de nuit ou portier de discothèque ? - Magazine de la Formation Sécurité
Les aptitudes professionnelles pour Gérer ça discothèque
Discothèque : le patron du Métro Club, au Puy-en-Velay, confie ses inquiétudes - Le Puy-en-Velay (43000)
Emploi : patron de boite de nuit, un métier "d'homme sain" - YouTube
La nouvelle éco : les propriétaires de discothèques restent dans le noir - France Bleu
Fermeture des discothèques : pour le monde de la nuit, un difficile "retour à la case départ" – L'Express
À Écardenville-la-Campagne, la boîte de nuit le Trianon ne rouvrira pas avant septembre - Paris-Normandie
Réouverture des discothèques : en Bretagne, les gérants « plus que contents » mais attendent « de voir » | Le Télégramme
